Et si on voyageait un peu? Destination Japon #1

15 juin 2013
Dans la série Récit de voyage, je vous propose comme destination, le Japon que j’ai eu la chance de découvrir (en parti) l’été dernier accompagnée de mon chéri.
J’ai choisie de commencer cette chronique par la ville d’Osaka. Celle-ci est la troisième plus grande ville du Japon après Tokyo et Yokohama. Nous sommes parvenus à destination via le Shinkansen (train à grande vitesse) après avoir fait une halte à Kyoto.
Pour le logement, nous avions réservés au préalable un Ryokan nommé Carpediem (ima wo ikiyo ce qui signifie “vivre l’instant présent” et dont les clichés du site internet ont retenus toute notre attention surtout pour le jardin Japonais présent au cœur de l’habitation.


En effet, cette auberge a beau être au cœur de la ville, elle n’en est pas moins un lieu paisible propice au repos… enfin, sous réserve de ne pas être réveillés par des bruits extérieurs.
Sachez que l’été au Japon voit toujours ses fortes chaleurs accompagnées de la mélodie des Semi (cigales Japonaises). Et celles-ci se lèvent tôt!
Certains y verront un insecte au bruit strident, d’autres le symbole de la saison estivale. Une chose est sûre, elles sont partout, que ce soit en milieu urbain ou non… dans les parcs aussi, où le son en est même assourdissant… seul la pluie offre un peu de répit pour nos oreilles.

Le lieu a gardé l’atmosphère des grandes résidences d’antan (matériaux typiques : bois, bambou, cloisons de papier, portes coulissantes etc.).
Certes, ce logement est situé à 10 minutes à pieds du métro – Arrêt Midoribashi (ligne Chuo) mais c’est un véritable havre de paix qui vaut le détour!
Côté praticité :
Il n’y a pas de “couvre feu” puisque la propriétaire confie aux clients un jeu de clef afin d’entrer et sortir quand bon nous semble et il est possible de prendre les repas dans la cuisine commune (frigo à disposition) où il y a un accès internet.

En général, les chambres d’auberges sont de grandes pièces munies de cloisons coulissantes (les shôjis) et d’une table basse au milieu de la pièce. 
Le sol est généralement recouvert de tatamis constitués de paille de riz. 
Les clients dorment sur un futon déroulé avant la nuit par les femmes de chambre. 
Ici, notre chambre était telle la description citée mais aussi très spacieuse, ce qui est un luxe au Japon. 
En résumé, je pense que c’est l’expérience Ryokan à ne pas manquer!
Sur les hauteurs d’Osaka, son château appelé Ozakajo, est l’un des plus célèbres du pays, symbole de l’unification japonaise au 16ème siècle pendant la période Azuchi-Momoyama.
Il a été plusieurs fois frappé par la foudre ou brûlé à travers les siècles et complètement restauré en 1997, notamment pour lui rajouter des ascenseurs. 
Le château d’Osaka fait environ 60 000 mètres carrés à sa base et il est bâti sur des empilements de rochers servant à le défendre.
L’édifice est construit sur deux plates-formes élevée, supportées par des murs de roche, chacun donnant sur un fossé.
Le château central est fait de cinq étages à l’extérieur et huit à l’intérieur.
Umeda était à l’origine une zone de champs cultivés.
A l’occasion de la construction de la gare d’Osaka en 1871, il a fallu enfouir ces champs, d’où le mot Umeda pour champs enfouis (kanjis).
Le gouvernement local décida par la suite de changer les kanjis, tout en conservant la même prononciation, afin de supprimer cette connotation négative : Umeda devint alors champs de pruniers
Dotonbori, c’est une rue unique longeant le canal Dtonbori entre le pont Dtonboribashi et le pont Nipponbashi du quartier de Namba. Ancien quartier de plaisir, Dtonbori est célèbre pour ses théâtres historiques (aujourd’hui tous disparus), ses magasins, ses restaurants, et ses nombreuses enseignes lumineuses.
Sur la photo, un des symboles d’Osaka : l’affiche publicitaire de Glico, une entreprise de friandise très connu au Japon.
Ci-contre, le personnage est habillé pour l’événement des mondiaux d’athlétisme d’Osaka en 2007.
Derrière ce sportif, les monuments célèbres de la ville : le château d’Osaka, l’aquarium Kaiyukan, le “kyocera dome” (une enceinte sportive) et la tour “tsutenkaku” (de gauche à droite).
Au détour d’une rue commerçante, nous tombons nez à nez devant le bar branché nommé Asahi Super Dry Extra Cold où la bière est servie à -2 degrés!
Quatre bars officiels ont ouverts au Japon : Fukuoka, Tokyo, Nagoya et Osaka.

J’ai optée pour une bière basique et mon chéri a découvert la Kuro Nama, bière japonaise noire (un délice). 
C’est Octobre 1995 que l’Asahi noire a été lancé au Japon. Malheureusement nous ne l’avons jamais trouvés en France!

J’espère que ce type d’article vous plaira, n’hésitez pas à partager vos plus voyages/moments également aussi bien sur vos blogs que par quelques mots en commentaires, je me ferais un plaisir de les lire. Cet Eté, pas de voyage lointain prévu faute de budget et vous?

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  • Hoà 16 juin 2013 at 8 h 36 min

    Ca donne vraiment envie d'y aller!

  • ChaalGrean 16 juin 2013 at 8 h 44 min

    Mon prochain voyage je pense !

  • UneCosmicGirl 16 juin 2013 at 21 h 44 min

    Joli récit et nostalgie pour moi qui ait passé beaucoup de temps à Osaka… 🙂

  • Virginie de l'Atelier 19 juin 2013 at 21 h 23 min

    voilà un voyage que je rêve de faire ! ! ! merci pour ce très beau post ! ! !

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